J’ignore franchement ce que je peut te conseiller, faut continuer à bouillir, ce qui fait mal. C’est peut-être ça la soluce, chercher quelque chose de douloureux, comme un accouchement (que nous ne connaîtrons jamais, nous les mecs) ou une bonne rage de dents. Personnellement je n’arrive à créer (même si ça ne vaut rien) que quand je me sens mal dans ma peau. C’est peut-être parce que j’ai lu Baudelaire et « la Divine Comédie » à 16 ans et que le monde me semble si imparfait que tes travaux si bien faits ne peuvent me satisfaire. Il ne faut prendre ça que comme un avis tout personnel. Je me sens incapable de juger, ce n’est qu’un avis, sans plus.
je t’avais très bien compris… alors si tu pense comme cela, c’est que toi aussi tu as une âme d’artiste.En tout cas tu trouvera le médium avec lequel t’exprimer, j’en suis sure.Si tu savais à quel point je trouve ce monde difficile et contradictoire à tous les niveaux. Il est vrai qu’il est difficile de déceler de la spontanéité dans mon travail… une sorte d’élan ou d’impulsion, mais il ne faut pas se fier à la touche, bien que très importante.Quand je m’attarde à chiader le truc, ca me canalise et me permet d’ hurler aussi d’une certaine manière, mais en silence et dans la longueur. De plus, je crois qu’il y a encore pire que moi comme fou furieux pointilleux et avide du detail et de perfection . 🙂
Ouais, je suis d’accord avec toi mais ce n’est pas mon humble avis qui doit te freiner dans ce que tu fais, continue à suivre ce que tu ressens, après tout, c’est ça qui compte !
Ouais, ne fais pas comme moi, travailler dans un univers qui ne te palis pas forcément, juste par obligation ou pour montrer aux autres que tu es rentré dans le rang. Comme disait Socrate : connais-toi toi-même. 😉
Pas mal, mais toujours trop lisse à mon goût.
lol 🙂 bah je vais finir par te decevoir tout le temps…;) pas bon ca! il me faut des gros pinceaux .
J’ignore franchement ce que je peut te conseiller, faut continuer à bouillir, ce qui fait mal. C’est peut-être ça la soluce, chercher quelque chose de douloureux, comme un accouchement (que nous ne connaîtrons jamais, nous les mecs) ou une bonne rage de dents. Personnellement je n’arrive à créer (même si ça ne vaut rien) que quand je me sens mal dans ma peau. C’est peut-être parce que j’ai lu Baudelaire et « la Divine Comédie » à 16 ans et que le monde me semble si imparfait que tes travaux si bien faits ne peuvent me satisfaire. Il ne faut prendre ça que comme un avis tout personnel. Je me sens incapable de juger, ce n’est qu’un avis, sans plus.
je t’avais très bien compris… alors si tu pense comme cela, c’est que toi aussi tu as une âme d’artiste.En tout cas tu trouvera le médium avec lequel t’exprimer, j’en suis sure.Si tu savais à quel point je trouve ce monde difficile et contradictoire à tous les niveaux. Il est vrai qu’il est difficile de déceler de la spontanéité dans mon travail… une sorte d’élan ou d’impulsion, mais il ne faut pas se fier à la touche, bien que très importante.Quand je m’attarde à chiader le truc, ca me canalise et me permet d’ hurler aussi d’une certaine manière, mais en silence et dans la longueur. De plus, je crois qu’il y a encore pire que moi comme fou furieux pointilleux et avide du detail et de perfection . 🙂
Je dirais même que je manque de patience.
Ouais, je suis d’accord avec toi mais ce n’est pas mon humble avis qui doit te freiner dans ce que tu fais, continue à suivre ce que tu ressens, après tout, c’est ça qui compte !
oui… je crois que le chemin se trace de manière singulière et autonome… 🙂
Ouais, ne fais pas comme moi, travailler dans un univers qui ne te palis pas forcément, juste par obligation ou pour montrer aux autres que tu es rentré dans le rang. Comme disait Socrate : connais-toi toi-même. 😉
ouais… vous avez raison vous deux. 😉